Interview Anthony Lamacchia

Aujourd’hui, on accueille l’auteur de « Edward Sakedos, l’apprenti nécromant » sur le blog pour une petite interview ! Hâte d’en découvrir plus sur l’auteur de ce thriller mixé à de la fantasy ? 🤪

ça se passe par là !!

Salut Anthony Lamacchia, et si tu te présentais un petit peu ?

Eh bien, bonjour, je suis auteur indépendant depuis bientôt deux ans. Ce n’est pas mon activité principale, mais c’est un domaine dans lequel je m’investis beaucoup et qui me passionne énormément.

Quels sont tes ouvrages ?

Mon premier roman auto-publié s’appelle L’inspiration des best-sellers, c’est un tout petit thriller, limite une nouvelle, mais qui a beaucoup plu. Après j’ai publié Edward Sakedos l’apprenti nécromant en 2019. Cette fois-ci, c’est du roman jeunesse, mais qui s’adresse facilement aux adultes également. J’ai aussi écrit un roman d’épouvante, Le Carnaval de Sang-Rire, qui est à ce jour uniquement en ebook, mais la version papier sera bientôt disponible.

Comment t’est venue l’envie d’écrire ?

J’ai toujours aimé raconter des histoires. Quand j’étais adolescent, j’écrivais pour moi, je faisais des fan fictions, et puis j’ai commencé à écrire plus sérieusement dans le but d’être publié.

Depuis quand écris-tu ?

Je dirais depuis l’âge de douze ans, mais dans le but de devenir auteur, depuis que j’ai quatorze ans. Ça ne s’est pas fait en cinq minutes 😁

D’où viennent tes idées ? Ton inspiration ?

De plein de choses. Des films, des livres, de la musique, du quotidien, de théories, de faits divers.

Comment l’histoire « Edward Sakedos, l’apprenti nécromant » est-elle née ?

Je revenais d’une librairie. Je ne sais plus quel livre j’avais acheté. Mais j’avais lu la quatrième de couverture de L’étrange vie de Nobody Owens de Neil Gaiman. Je ne l’avais pas pris ce jour-là, mais je m’étais dit qu’il faudrait que je le lise un jour. Et sur le chemin du retour, j’y repense, et arrivé à un stop, j’ai la vision d’un petit garçon qui joue dans un cimetière et qui s’amuse à vouloir réveiller les morts. C’est le point de départ d’Edward Sakedos.

Qu’est-ce qui t’a décidé à te lancer dans l’autoédition ?

Je voulais essayer. J’avais déjà fait l’erreur de me faire éditer à compte d’auteur ; quand j’étais plus jeune, je pensais que c’était la seule option quand on n’est pas connu, ce qui est faux. Je m’étais dit que si je devais repasser par une maison, ça serait avec une très grande. Bien entendu, la concurrence est rude. Quand j’ai fini l’inspiration des best-sellers, un ami avait tenté l’autoédition. J’ai alors essayé à mon tour.

As-tu d’autres projets d’écriture ?

Oh oui ! Outre la sortie papier du Carnaval de Sang-Rire, j’ai terminé un recueil de nouvelles et j’ai écrit un roman de fantasy pour le concours qu’organise Folio SF pour ses vingt ans. Je n’ai pas la prétention de gagner, mais être nominé serait une victoire. Dans tous les cas, ça reste un texte dont je suis très fier et que je compte publier. Et derrière, j’ai d’autres histoires en tête, donc les projets ne manqueront pas 😁

Quel est ton moment favori pour écrire ? Ton endroit ?

Quand j’ai le temps😁 Je n’ai pas vraiment d’endroit fétiche ou de moment spécifique pour écrire. Je pense que je suis plus productif le matin, au calme.

L’endroit le plus insolite où tu as eu de l’inspiration ?

Question difficile… Je dirais la Black House à Chang Rai en Thaïlande. Je crois avoir écrit quelque chose après ma visite, à l’hôtel, mais je ne m’en suis pas encore servi.

Mis à part tes romans, as-tu d’autres passions ?

Je fais de la batterie. J’ai un petit niveau. Je n’y mets pas autant d’énergie que dans les livres, mais il y a des projets qui se mettent en place de ce côté-là aussi… À suivre…

Tes auteurs préférés ?

J’adore beaucoup d’auteurs. Mais je ne pense pas avoir un ou des auteurs préférés. Le favoritisme, ce n’est vraiment pas mon truc. Après j’admets qu’il y a des références qui m’ont beaucoup aiguillé : Jean-Christophe Grangé pour le thriller, David Gemmell pour la fantasy… Y a aussi Dan Simmons, Lovecraft, Stephen King, Jean Ray, Pierre Dubois… J’en oublie…

Être auteur pour toi, c’est quoi ?

C’est communiqué. Je pense qu’écrire, comme pour la musique ou la peinture, ou d’autres arts, c’est d’échanger avec le lecteur ou le spectateur. Un auteur c’est quelqu’un d’inspiré qui va inspirer les autres. Du moins quand il réussit. Je ne sais pas pour mes confrères, mais quand j’écris, j’essaie bien sûr de divertir, mais j’essaie aussi de faire passer un message, une idée, une émotion.

Que conseillerais-tu à une personne qui souhaite se lancer dans l’écriture ?

Pour ce qui est d’écrire, je lui dirais de pratiquer : on devient écrivain en écrivant et en lisant, y a pas de secret. Il faut être patient et surtout se faire plaisir. Si on se force, ce qui en ressortira ne sera pas bon.
Après, pour ce qui est d’être publié ou de s’auto-publier, je lui dirais d’être encore plus patient et de bien se renseigner, de bien se préparer. Moi, j’ai souvent manqué de préparation et j’ai fait des erreurs, j’en fais encore d’ailleurs. Je suppose que c’est normal 😁 Et le mot d’ordre : ne jamais abandonner.

Pour terminer, as-tu un « scoop » à nous dévoiler pour tes prochaines actualités ? Un petit mot à faire passer à tes lecteurs/lectrices ?

Je vous prépare un gros truc pour la fin de la saison, restez connectés 😁

Merci beaucoup pour cette interview.

Merci Anthony Lamacchia pour toutes ces réponses ! Je suis impatiente de découvrir ce qu’il se prépare pour la fin de la saison ! 😁 Pas vous ? 🤪

Mon avis disponible ici : Edward Sakedos, l’apprenti nécromant

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